Depuis plus de 25 ans, le festival Astropolis s’est imposé comme LA référence des festivals du Grand Ouest. Cette année encore, c’est toute la ville de Brest que l’événement s’installera pendant 5 jours, du mythique Manoir de Keroual aux clubs et parcs de la ville et jusqu’à la rade de Brest. 

Pour son retour, Astropolis sera à nouveau le rendez-vous de la fête hédoniste en plein air, de jour comme de nuit, aussi dans les lieux emblématiques du centre d’art contemporain Passerelle au club du port de commerce, La Suite, en passant par le légendaire Cabaret Vauban. 

Techno, bass, electro, DJ sets, live : les premiers noms

Fidèle à son ADN, le festival offrira encore un large panel du spectre des musiques électroniques, amplifié par des scénographies conçues avec soin. Les premiers noms donnent déjà l’eau à la bouche, avec tout juste annoncés le live audiovisuel du brestois Blutch, le new-yorkais LSDXOXO, spécialiste des edits et remixes de la scène pop en traitement hardcore, techno, electro et ghetto house, mais aussi Manu Le Malin (l’un des vétérans du festival) avec Trasher en back to back, un second duo avec les pionnières techno VTSS et Nene H, ou encore l’underground africain de Kampire, fer de lance du collectif Nyege Nyege. Comptez aussi la résidente de Herrensauna, Salome. 

Comme chaque année, Astropolis défendra aussi le tissu associatif du grand ouest (qui représente +50% de la programmation) et les talents émergents avec de nombreuses cartes-blanches à des collectifs curateurs des évènements de jour et un tremplin grand ouest (ouvert aux inscriptions jusqu’au 22 mars) qui a révélé ces dernières années Jean Terechkova, Théo Muller, Fasme, Fakear, Gigsta, Unklevon, Mac Declos, Swooh, René Danger, UVB76, Blutch ou Superpoze.

« Un festival en harmonie avec les enjeux environnementaux et sociaux contemporains, soucieux des problématiques de développement durable, de la parité, et d’offrir des espaces collectifs aux beaux écrins organiques, des safes places où les âmes sont guidées par la bienveillance. », promet le festival.

La programmation de nuit sera annoncée à la mi-mars, et le reste (programmation de jour, tremplin et collectifs) courant avril. Mais une chose est sûre : Astropolis est parti pour conserver son titre de festival phare de l’Ouest. 

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