Du 7 au 9 juillet, le Bel Air festival revient dans un immense champ en plein air à Saint-Araille, près de Toulouse. Au programme : 50 heures de son et 3 scènes rassembleront DJ sets, concerts et performances dans ce petit paradis intimiste où l’exploration des musiques électroniques est aussi importante que l’environnement.
Depuis 2016, le Bel Air transforme pendant 2 jours et 2 nuits un champ du bucolique village de Saint-Araille à seulement 45 minutes de Toulouse, avec la même recette gagnante : réunir un vaste réseau d’exposant.es, de DJs, de musiciens et de producteurs locaux au sein d’un festival unique. Mot d’ordre : (vraiment) de la place pour danser, et sensibiliser à l’impact sur la nature en développant tout le secteur économique, culturel et social de la région.
Côté line-up, les deux scènes du festival (Pyrénées et Tournesol) installées à ciel ouvert tournent en continu de 10h à 5h du matin, en confiant les commandes à un vaste spectre électronique entre house, techno, breakbeat, minimales, jungle, rave, footwork, power house ou encore italo disco.
Parmi la quarantaine d’artistes prévu.es au programme, ce marathon recevra notamment la berlinoise Sally C, le duo australien X CLUB, l’américain X-Coast, les lives de Binary Digit et Dalle Béton, le collectif GOGO GREEN, l’espagnole Lis Sarroca, la grenobloise Maelita, ou encore les talents français Tatie Dee et Thurman.
« Nous mettons en lumière les artistes émergentes (nos pépites locales) en leur permettant de partager la scène avec des artistes nationaux ou internationaux », explique l’équipe du festival qui met un point d’honneur à visibiliser les talents émergent.es avec par exemple 130E0A, Elhadji, Heno Heno et les lives de ell Nesta, Izoï, Random Copy et Yffa. La troisième scène Soleil est le point d’orgue des explorations, avec des lives hip-hop, rap, ghetto, ou encore progressive, rock et punk.
Ce feu d’artifice sonore se complète d’une véritable expérience à vivre pieds dans l’herbe, avec de nombreux spectacles vivants, des conférences et d’ateliers de sensibilisation. « On porte chaque année haut et fort un rendez-vous où musique et convivialité sont les maîtres-mots », confirme l’équipe du Bel Air, dont l’équipe ambitieuse et soudée est formée par une équipe jeune, marquée par l’urgence climatique et les luttes sociétales. La journée du dimanche est aussi gratuite pour tous.tes avec un marché de producteurs.rices de toute la région.
En avant-goût alléchant du festival, Bel Air organisera aussi un grand open air (gratuit) le 13 mai prochain dans le vaste Jardin Raymond VI entre DJ sets, stands et activités avec Mad Rey, Desire, Mon Cher Guy ou encore Naconda. Vivement l’été !
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