5 faits sur le génie de la musique électronique Aphex Twin

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Précurseur incontesté et génie de la musique électronique, Richard D. James aka Aphex Twin voit le jour à Limerick en Irlande. À l’âge de 9 ans, Richard achète ses premières cassettes et magnétophones. Trois ans plus tard, il achète son premier synthétiseur qu’il monte puis modifie lui-même en l’assemblant avec d’autres outils chinés en vrac. Richard D James devient alors accro à la fabrication de sons. 

Aujourd’hui, il est considéré comme l’un des artistes les plus influents de son siècle. Éternelle énigme aux mille alias, il a révolutionné la musique expérimentale à travers des albums et des lives aussi fascinant que déstabilisant. 

Le fabricant de sons 

À l’âge de 9 ans, Richard achète ses premières cassettes et magnétophones. Trois ans plus tard, il achète son premier synthétiseur qu’il monte puis modifie lui-même en l’assemblant avec d’autres outils chinés en vrac. Richard D James devient alors accro à la fabrication de sons. 

Mais qui est donc Richard D. James ? 

Encore aujourd’hui, Richard D. James reste une énigme. Malgré son immense notoriété, l’artiste s’est toujours tenu loin des interviews et de la presse. Savant fou discret et énigmatique, ses rares entretiens sont ponctués d’anecdotes parfois réelles, parfois totalement inventées. 

1000 et 1 alias 

En plus d’Aphex Twin, Richard D. James possède de très nombreux Alias comme AFX, Bradley Strider, Caustic Window, ou encore The Tuss. Tout au long de sa carrière, l’artiste a sorti des albums et des tracks sous différents noms simultanément, brouillant volontairement les pistes.

L’art du clip 

Artiste solitaire se tenant relativement loin des collaborations, on lui connaît cependant un allié de longue date: Chris Cunningham. Artiste vidéo-plasticien né en 1970 en Angleterre, Cunningham marque les esprits avec deux clips révolutionnaires réalisés pour Aphex Twin: Come To Daddy et Windowlicker. L'alchimie entre les deux artistes est parfaite. 

Aphex et les éoliennes 

Le 16 juillet 2023, l’irlandais venait clôturer le festival de Dour 14 ans après son premier passage au sein du festival Belge. Sur fond d’éoliennes, il a y a présenté un show aussi fascinant que déstabilisant avec écran géant arborant des images de son visage mixé avec celui de célébrités belges. Son set lui, a laissé place à l'improvisation : grandes nappes ambient, jungle, techno … En bref, de la fureur, du chaos et de la prouesse technique.